AFFAIRE BRIGITTE : LA CONTRE-ATTAQUE “ÉTRANGE” DES MÉDIAS MACRONIENS ! | GPTV
Description
Le 30 septembre 2025 à 12h30, Nicolas Stoquer revenait sur la plainte des Macron contre Candace Owens, la mise en scène médiatique autour de Brigitte et les zones d’ombre des preuves jamais révélées, en direct sur Géopolitique Profonde.
Une plainte transformée en spectacle médiatique
Déjà critiqué pour son mépris des Français, le couple Macron s’enfonçait dans une stratégie de diversion en portant plainte pour diffamation contre Candace Owens aux États-Unis. Derrière cette démarche, soi-disant pour défendre l’honneur blessé de Brigitte, se cachait une opération de communication visant à museler la critique. Les médias relayaient avec zèle un récit officiel, présentant Brigitte en victime de cyberharcèlement, Emmanuel en mari indigné, sans jamais répondre aux véritables questions.
Cette initiative judiciaire, loin d’un acte de courage, visait à détourner l’attention des échecs politiques en instaurant un climat de peur autour de toute remise en cause. Les journaux recyclaient photos et récits éculés, agitant des « preuves scientifiques » jamais montrées sur les grossesses de Brigitte. Aucune réponse sérieuse n'était apportée aux arguments des brigittologues. La presse n’informait plus : elle sanctifiait.
Le silence assourdissant des proches
Plus troublant encore : ni les Trogneux ni la famille Macron ne prenaient publiquement la défense de Brigitte. Ce silence renforçait l’isolement du couple présidentiel, dont la seule force résidait dans un appareil médiatique docile. La plainte apparaissait comme un instrument politique plus qu’un réel recours judiciaire, révélant la peur du pouvoir face à toute contestation de son image.
La thèse de l’usurpation ignorée
Les brigittologues, souvent moqués, rappellent les incohérences persistantes autour de Brigitte Macron. La question demeure : la Brigitte Trogneux, mère de trois enfants, est-elle bien la même que celle qui vit à l’Élysée ? Des photos remises en avant par Closer, dont celle d’un « petit gros » censé être Jean-Michel Trogneux, ne dissipent pas les doutes. Au contraire, certaines analyses suggèrent une troublante proximité physique entre Jean-Michel et Brigitte.
Les médias recyclent sans cesse les mêmes clichés sans rien prouver. L’objectif : imposer une vérité officielle par saturation. En évitant tout débat et en criminalisant la moindre interrogation, les relais du couple ne font qu’amplifier les soupçons. Car si la vérité était si simple, pourquoi l'éviter ?
Le procès impossible
Ce procès a peu de chances d’aboutir. Candace Owens, soutenue juridiquement, a demandé la nullité. Aux États-Unis, la diffamation suppose de prouver à la fois le mensonge et l’intention de nuire — ce que les Macron auront du mal à démontrer. Tout indique qu’il s’agit d’un coup médiatique pour gagner du temps, créer une posture victimaire, et éviter tout vrai débat.
Un procès ouvrirait la voie à des demandes redoutées : analyses ADN, examens gynécologiques, vérifications de documents. Ce que le couple cherche visiblement à fuir. Lancer une plainte pour ensuite s’en retirer discrètement permet de s'afficher en martyrs tout en esquivant l’examen des faits. Une stratégie révélatrice d’une présidence fragilisée, enfermée dans son propre récit.
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